Une des plus importantes boîtes tardives et de DJ en Amérique du Nord, ce petit club à la fine pointe de la technologie peut se vanter d'avoir une piste de danse ergonomique et un système de son inégalé sur le continent. Parmi les DJ réguliers, on retrouve Alain Vinet, Mark Anthony et David Morales, et Stéréo attire aussi les meilleurs DJ en tournée comme Paul Oakenfold. Préparez-vous à de longues files d'attente et habillez-vous de façon à vous faire remarquer, car le portier ne choisit pas n'importe qui.
Situé à l'extrémité est de la ville, ce bar prétend être le club gai de Montréal. Vous pourrez y rencontrer des amis de même tendance, fixer des rendez-vous, échanger des photos ou simplement bavarder sans être dérangé. L'ambiance est décontractée, mais elle peut rapidement devenir mouvementée. Il y a des spéciaux tous les soirs, comme les jeudis des gars, les mercredis des étudiants, et les dimanches du Karaoke.
Ce bâtiment de deux étages dispose d'un bar et d'une estrade au premier, et d'un auditorium au deuxième qui seret de repaire aux étudiants. Originalement situé près de l'université de Montréal, le Café Campus a déménagé sur la rue Saint-Laurent à cause du bruit ! Maintenant, la musique comprend surtout du blues (surtout le mardi soir) et du rock, presque tous les soirs de la semaine. Le prix d'entrée est minime et varie selon l'orchestre invité. Le mercredi (la soirée Polliwog, le spectacle est gratuit pour les orchestres locaux. Argent comptant et cartes de débit seulement.
Ce bar-salon dans le vent, mais accueillant pourrait souffrir d'un problème d'attitude si sa clientèle et son personnel n'étaient pas si terre-à-terre et sympathiques. Le décor, après tout, est abusivement kitsch comme certains des bar-salons les plus intimidants de Montréal, et les œuvres de graffitis du coin par l'artiste Omen ajoutent à l'allure bohème. Les DJ présents presque tous les soirs nuisent parfois à la conversation, mais les confortables divans et l'atmosphère amicale sont difficiles à trouver ailleurs.